
Les échos-logiques
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Les échos-logiques sont des podcasts questionnant les relations Homme-société-environnement. Au fil des épisodes, découvront 4 points de vue critiques d'écologues sur notre rapport à la nature et nos façons de la “gérer”. Alors que les changements globaux nous imposent de les repenser, tendons l’oreille pour capter leurs échos … logiques ! Cette série vous est proposée par l’OSU Institut Pythéas (AMU, CNRS, IRD) et l'Institut Méditerranéen pour la Transition Environnementale (ITEM) d'AMU avec 4 écologues de l’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale (IMBE).
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Dans les discours écologistes actuels, on utilise le terme biodiversité à toute les sauces. De même, on demande à l’écologie scientifique de nous fournir des indicateurs fiables de cette biodiversité, éléments indispensables pour évaluer l’état des écosystèmes, faire des modèles de prévision, hiérarchiser les services écosystémiques… etc. Mais par “biodiversité”, sait-on vraiment de quoi on parle ? A quel point nos indicateurs sont-ils représentatifs de la biodiversité, permettent-ils vraiment d’en apprécier la complexité ? Avec cette vision de l’écologie, on perd alors le fondamental : observer et décrire la diversité du vivant qu’on ne connaît toujours que très peu...

Dans les discours écologistes actuels, on utilise le terme biodiversité à toute les sauces. De même, on demande à l’écologie scientifique de nous fournir des indicateurs fiables de cette biodiversité, éléments indispensables pour évaluer l’état des écosystèmes, faire des modèles de prévision, hiérarchiser les services écosystémiques… etc. Mais par “biodiversité”, sait-on vraiment de quoi on parle ? A quel point nos indicateurs sont-ils représentatifs de la biodiversité, permettent-ils vraiment d’en apprécier la complexité ? Avec cette vision de l’écologie, on perd alors le fondamental : observer et décrire la diversité du vivant qu’on ne connaît toujours que très peu...

Dans les discours écologistes actuels, on utilise le terme biodiversité à toute les sauces. De même, on demande à l’écologie scientifique de nous fournir des indicateurs fiables de cette biodiversité, éléments indispensables pour évaluer l’état des écosystèmes, faire des modèles de prévision, hiérarchiser les services écosystémiques… etc. Mais par “biodiversité”, sait-on vraiment de quoi on parle ? A quel point nos indicateurs sont-ils représentatifs de la biodiversité, permettent-ils vraiment d’en apprécier la complexité ? Avec cette vision de l’écologie, on perd alors le fondamental : observer et décrire la diversité du vivant qu’on ne connaît toujours que très peu...

La plupart des opérations de restauration ou de réhabilitation d’écosystèmes sont fondées sur des mesures imparfaites de la biodiversité. Difficile alors de laisser le “sauvage” s’exprimer. D’autant plus que celui-ci est contraint par des millénaires d’interactions Homme-nature, et par l’omniprésence de l’Homme dans le fonctionnement de la biosphère. Ré-ensauvager nos espaces naturels est-il alors possible dans ce contexte?

La naturalité, c’est l’inverse de l’artificialisation : une évolution relativement autonome d’un milieu, sans l’homme, bien que difficile à appréhender et discutable, car l’homme est partout d’une manière ou d’une autre. Ainsi, si l’on considère les forêts comme des milieux les plus naturels sur le continent européen, la biodiversité y est-elle supérieure à celle de milieux plus façonnés par l’homme ? En est-elle un refuge ?

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